Certificat de conformité européen seat

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Le lancement du Certificat de conformité certificat de conformité seat Ateca est un événement d’importance pour Certificat de conformité certificat de conformité seat, qui ne comptait aucun SUV dans sa gamme. Le nouveau modèle, habitable et homogène, se montre de taille à rivaliser avec les ténors du segment.

Après avoir longtemps bu le calice jusqu’à la lie, Certificat de conformité certificat de conformité seat retrouve des couleurs. Au premier semestre, le constructeur espagnol a enregistré des bénéfices substantiels, grâce notamment à sa compacte Leon. Il complète surtout sa gamme avec un véhicule placé au cœur d’un segment en pleine croissance, celui des SUV compacts. Pour ce faire il part avec un savoir-faire déjà bien établi : celui du Volkswagen Tiguan, avec lequel il partage l’essentiel de ses éléments techniques, depuis les motorisations jusqu’à la transmission intégrale, rigoureusement identiques. Seuls les moteurs essence les plus puissants sont réservé au modèle allemand, tandis que l’Espagnol conserve l’apanage du moteur TSI 1.0 de 115 ch.

Le Certificat de conformité certificat de conformité seat se caractérise par un style plutôt dynamique. Il appartient sans conteste à l’univers esthétique du groupe allemand : les lignes sont saillantes et tendues, tandis que la gamme de coloris proposée, généreuse et dotée de quelques teintes vives, permet de relever l’ordinaire. Quoiqu’il en soit, l’auto affiche un style qui se démarque dans un segment où beaucoup de modèles singent le Nissan Qashqai.

A l’intérieur, l’originalité n’est pas de mise : on retrouve quasiment à l’identique la planche de bord de la Leon. La qualité des matériaux apparaît nettement inférieure à ce que propose le Volkswagen Tiguan. Certains tissus et plastiques laissent à désirer, même si l’assemblage donne satisfaction.

 

Comme son cousin de chez Volkswagen, l’Ateca affiche une réelle vocation familiale grâce à une habitabilité généreuse. A l’arrière, deux grands adultes peuvent prendre leurs aises, sur une banquette assez ferme, grâce à un espace aux jambes et à la tête généreux. En revanche, des économies ont clairement été réalisées sur la modularité : la banquette arrière n’est pas coulissante et seuls les dossiers se rabattent. Impossible d’obtenir un plancher plat car celui-ci n’est pas réglable.

C’est visiblement dans le domaine des équipements technologiques que le constructeur a voulu mettre le paquet. Le SUV Espagnol peut en effet être doté de toutes les aides à la conduite du Tiguan hormis l’Active Info Display. Le régulateur adaptatif Stop & Go, la suspension pilotée DCC, les feux de route adaptatifs sont tout disponibles. L’équipement de base apparaît d’ailleurs plutôt généreux, même sur les finitions d’entrée de gamme puisque le freinage automatique d’urgence et l’écran tactile de 5 pouces sont en série sur tous les modèles. Nous disposions sur notre version Style d’un système de navigation doté d’un écran 8 pouces et du dernier cri de la connectivité. Celle-ci s’avère cependant un peu complexe à utiliser, les fonctionnalités USB n’étant pas toujours compatible avec celles proposées par le Bluetooth. Il vous sera ainsi impossible d’accéder à la musique depuis le lecteur de bord si vous avez connecté votre téléphone en mode Android Auto.

DES PNEUS À ÉVITER

 

Nous avons choisi d’essayer un exemplaire de cœur de gamme, équipé du 2.0 TDI 150 boîte manuelle et de deux roues motrices. Ce moteur offre un niveau de performance déjà suffisant même si la boîte de vitesse très longue met en évidence un creux à bas régime marqué. Cet étagement favorise la consommation qui s’avère assez contenue pour un SUV : nous avons relevé une moyenne de 7 litres sur un parcours assez dynamique. Par ailleurs, si le moteur se révèle assez sonore en charge, l’insonorisation des bruits d’air et de roulement se montre plutôt efficace.

Sur le plan du comportement routier, l’Ateca deux roues motrices ne fait pas preuve du dynamisme vanté par la marque. Plutôt réglé souple, l’amortissement n’offre pas un maintien optimal dans les enchaînements de courbe. Pour autant, l’Ateca dispense un bon niveau de confort, même avec des jantes de diamètre élevé. C’est particulièrement remarquable si on le compare au Nissan Qashqai monté en 19 pouces.

Nous avons moins été convaincus par la qualité des pneumatiques. Comme souvent sur un produit du groupe Volkswagen, leur qualité s’avère disparate. Ainsi, les Falken proposés sur notre version chaussée en 18 pouces TDI 150 offraient un niveau d’adhérence très moyen, qui conduisait assez rapidement au sous-virage. Si le comportement reste sain et prévisible, il apparaît assez aisé de provoquer le survirage malgré l’intervention de l’ESP. Une attitude que nous n’avons pas du tout retrouvée sur un modèle TDI 190 ch 4 roues motrices chaussé de Pirelli. A noter que ce dernier est également doté d’un train arrière multibras, qui améliore nettement la tenue de route et le maintien de caisse.

BILAN

Très bien équipé par rapport à la concurrence, joliment dessiné et habitable, l’Ateca se situe très honorablement face à une concurrence plus que féroce. Hormis les pneumatiques de notre exemplaire, il fait preuve d’une réelle homogénéité et propose surtout un rapport prix équipement canon. Notre modèle TDI 150 Style est ainsi proposé à 29.785 € et dispose en série du GPS, de l’accès mains libres, des projecteurs à LED et de la climatisation automatique. Un tarif à comparer aux 29.500 € demandés par le Renault Kadjar dCi 130 Zen et aux 33.550 ch exigés par le Peugeot 3008 BlueHDI 150 Allure, tous les deux nettement moins bien équipés.